Jean-Marie le Méné, président de la fondation et Lucie Pacherie, juriste de la fondation, dénoncent un « simulacre » de débat pour la loi de bioéthique.
Lucie suit les débats parlementaires de près et alerte sur la « perte de conscience de ce qu’est l’embryon humain ». Le président de la fondation apporte, quant à lui, un point de vue enrichit d’un recul de plus de 20 ans sur les actualités de la bioéthique. Il tente d’expliquer en quoi le projet de loi, loin d’être une « loi de rupture », est au contraire une « loi de continuité » et un « Camerone bioéthique ».
« Les lois de bioéthiques ne limitent pas les dérives, elles sont les dérives »