Les chercheurs s’engagent par ailleurs à n’utiliser, dans le cadre précis des études financées par la Fondation Lejeune, ni embryons humains, ni cellules souches embryonnaires humaines, qu’elles soient dérivées d’embryons humains provenant directement ou non d’interruptions provoquées de grossesse, de techniques de procréation médicalement assisté ou de clonage humain. Leur utilisation est donc contraire aux missions statutaires de la Fondation Lejeune.
Les chercheurs ne participent pas non plus à la création de nouvelles cellules germinales humaines.
Comme l’explique son président, Jean-Marie Le Méné, depuis plus de 25 ans, la Fondation Lejeune a « systématiquement apporté la preuve scientifique qu’aucune recherche ne requérait l’instrumentalisation de l’embryon humain »[2].
[2] Plaidoyer pour une éthique de la vie, p. 13.