La recherche médicale sur les maladies génétiques de l’intelligence ne pourra avancer qu’avec la volonté manifeste de soutenir les scientifiques et de créer les conditions nécessaires à l’initiation de nouvelles études.
La recherche médicale sur les maladies génétiques de l’intelligence ne pourra avancer qu’avec la volonté manifeste de soutenir les scientifiques et de créer les conditions nécessaires à l’initiation de nouvelles études. Comme le dit le scientifique Sébastien Jacquemert, l’espoir est grand, « il ne faut pas baisser les bras devant les troubles du comportement du développement cérébral de l’enfant car il est envisageable de le modifier et de rétablir certaines fonctions avec un traitement ciblé » (Figaro 06/01/2011, à propos de ses travaux de recherche sur l’X-Fragile)
C’est pourquoi la recherche médicale visant à diminuer la déficience intellectuelle constitue un objectif majeur de la Fondation et de l’Institut Jérôme Lejeune. Est-ce que cela veut dire que l’on va guérir les patients ? Dans le cas de la trisomie 21 : s’il est peu probable qu’on parvienne un jour à supprimer le 3ème chromosome, en revanche, il est envisageable d’atténuer le déficit intellectuel. La finalité de la recherche thérapeutique est ainsi de parvenir à mettre au point une prévention ou un traitement pharmacologique améliorant les fonctions intellectuelles des malades.
Les progrès et l’ambition des chercheurs aujourd’hui confirment l’idée « originelle » du Pr Lejeune, celle de l’espérance thérapeutique : « Nous trouverons. Il est impossible que nous ne trouvions pas. C’est un effort intellectuel beaucoup moins difficile que d’envoyer un homme sur la Lune ».
Et pour y arriver, nous avons besoin de vous.