Ce 10 décembre, c’est la Journée mondiale des droits de l’homme, décidée par l’ONU. C’est l’occasion de rappeler qu’en vertu de la Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme « Nul ne doit faire l’objet de discriminations fondées sur ses caractéristiques génétiques ».
Pourquoi ? Parce que nous faisons tous partie de la même famille humaine ; et qu’à ce titre la vie d’une personne porteuse de trisomie 21 a la même valeur que la vie d’une personne qui n’a pas de trisomie 21. Robin, Charlotte, Peter, Kathleen et Benjamin en témoignent : la vie est belle ! Ce qui est dur, ce n’est pas d’abord la trisomie 21 mais le regard des autres.
La fondation Jérôme Lejeune – dotée par l’ONU du statut consultatif spécial, c’est-à-dire reconnue comme ayant une expertise à apporter à l’ONU– est mobilisée pour défendre sans relâche les droits et la dignité des personnes atteintes de déficience intellectuelle d’origine génétique .